freshcat

newyorkminute

Mercredi 27 octobre 2010 à 11:20

 
Il sagit du nouveau projet d'arte.tv sortie le 20 octobre. C'est une série de six films grâce auxquels on parcours trente ans de culture H, de destins brisés, d'espoirs intacts à travers les cinq quartiers de New York. Les ex-enfants soldats de Staten Island, les bootlegers de Times Square, les rappers du Queens, les bikers du Bronx ou les graffeurs d’Uptown…

Un petit bijoux à regarder et à conserver : http://nyminute.arte.tv/fr/

Le premier épisode est non seulement très bien filmé, mais très touchant et vraiment intérressant. Vous en pensez quoi ?

hardtoleave

Lundi 25 octobre 2010 à 11:01

http://legacyentries.weheartit.netdna-cdn.com/20090303204813.jpgphoto from weheartit

C'est triste parfois comme on se sent obliger de laisser quelqu'un d'autre diriger la barque qu'on aimait tant. J'aimais ce statut de présidente, de responsable. Celle qui doit démarcher au près des mairies, remplir les demandes de subventions tout ça. Même si je savais que je n'étais que peu présente à mon poste. La distance à un peu tout gâcher surtout pendant l'année ou j'aurai pu tout réussir. Mais soit, c'est comme ça. En contre partie je m'étais promis d'assumer cette année mon poste de présidente plus que jamais jusqu'à ce qu'une des filles me dise qu'elle se présentait. Remarquez je pourrais toujours poser ma candidature, c'est au CA de voter. Mais non, j'ai pas envie. Ce serait être égoïste et pas très réfléchis. J'aimais être présidente, mais j'ai pas été la meilleure des présidente faute de temps et de distance mais j'ai pas été la pire je pense. Elle s'en occupera mieux que moi. Elle est sur place, très motivée et elle a vécu un truc vraiment pas drôle l'année dernière. J'espère juste qu'elle se plantera pas comme celle qui mon précédée.
J'ai beaucoup de mal à me dire que cette association que j'ai vu se créer, ne sera plus "mienne" bien qu'elle ne l'ai jamais été. Mais je la représentais. C'était ma fierté. Maintenant je ferais "juste" partie du CA, peut être que j'aurais un poste même, mais plus de place au bureau. Tant pis, je vieillis et il faut que je laisse ma place. C'est vraiment, très dur de l'accepter. Mais soit, c'est comme ça.
Je suis tombée sur un blog, et j'ai mis cette vidéo dans mes liens il y a quelques temps. Et je voulais vous la faire partager. 
Je ne suis pas une grande fan de danse classique ou de ballet. Mais j'aime beaucoup celui ci. Je le trouve original et marrant. Ca change des ballets classique qui fonctionnent dans les règles de pure techniques et esthétiques. En plus de ça, l'étoile est vraiment grande, ça donne encore plus d'allure à ses gestes et ses sauts.


Et vous, qu'en pensez vous ? Vous aimez la danse classique ?

lafiesta

Jeudi 21 octobre 2010 à 16:32

A cet instant là, facile. Chaque direction qu'entreprend ma pense se perd dans un cable emmêlé parmi d'autres. Ca fait un gros noeud de toutes petites idées. "La pensée en germe", qu'on dit. Des fois, la moindre égratinure innofensive peut vous écorcher vif et les mots des gens agissent ensuite comme du sel sur une plait encore ouverte. (Saisir la dimension métaphysique et double-sens de cette phrase). Grand mythe, n'est ce pas (du sel sur la plaie). J'ai jamais expérimenté mais rien que l'idée suffit à donner des convulsions d'horreur faut dire (On voit ça dans Tortilla Flat). Je marche sur toutes les punaises. Quand j'en fais tomber une, je sais que j'ai intérêt à pas me balader pieds nus; J'avoue que des fois je finis le jus de fruit et je remets dans le frigo pour pas perturber mon mécanisme très limité en changean de trajectoire. C'était la pensée embrouilée du soir, désespoir (pour vous! moi ça va, merci...)

Hier, tout en dégustant une tranche de pain subtilement dorée au four T****, une pertinente question à interrompu mon processus de digestion. Ma curiosité aiguisée, j'ai osé énnoncer mon tracas  mais qui a inventé le pain grillé ? Ne vous moquez point [ ce serait ii le moment idéal pour me la jouer Diderot et égarer l'âme déjà bien trop perdue à lire ce squelques lignes, par la formule horripilante qui rend à Jacques le Fatalise sa médiocrité " Il ne tiendrait qu'à moi, lecteur..." d'envoyer Marguerite à des amours paillardes avec l'apothicaire, l'apothicaire étant oncle d'un évèque avec qui mon cousin a gardé les cochons quand étant rentré de son service militaire, il chercha quelque paix à se décider de proffesser sa foi. Il raconterai cette anecdote un jour ou ayant perdu sa tabatière (non tu n'en auras pas) il avait mené notre héros dans une auberge ou l'on sert d'excellents gratins de blettes. "-Mais je ne le ferais pas - Dans ce cas, ta gueule! ] Revenons à nos... tartines. C'est vrai tous les autres concepts alimentaires ont un explication anecdotique, pourquoi pas le pain grillé ? Il y a les iles sandwich, de grandes mythologue sur la pomme de terre... Que le couillon qui a fait cramer sa miche de pain de campagne soit sanctifié ! Et plus grave encore, mon indignation n'a trouvé aucun secours, surtout pas dans la bouche de mes géniteurs, pour cela j'exploite ici mon droit d'expression, espérant un jour m'être retourné le témoignage d'un spécialiste enthousiaste d'avoir découvert un humain soupçonnant un intérêt à sa discipline, et enfin je retrouverai le sommeil !

socialnetwork

Dimanche 17 octobre 2010 à 13:10


Comme promis je reviens pour raconter autre chose que ma vie : The Social Network.

J'ai vu, lu et entendu beaucoup de critiques à propos de ce film. Mais toujours de manière positive. Je me suis dis qu'il fallait que j'aille le voir pour 1) ne pas mourir bête et 2) pouvoir critiquer à mon tour.

Le film va à une vitesse incroyable. Les acteurs parlent tellement vite, qu'on est transporté dans l'euphorie qu'a put ressentir Mark Zuckerberg en créant facebook.
Et puis il y a des tonnes de questions que l'on soulève. L'argent attise l'amour ET la haine. Comment protéger une idée. Comment garder la tête sur les épaules quand on est pris dans un engrenage pareil. Tout va très vite et l'argent aussi. A qui faire confiance... C'est un film vraiment très intéressant, qui ne prend partie pour personne, qui fait froid dans le dos pour ceux qui la popularité les grands chiffres font peur et qui fait rêver les adeptes du "rêve américain".

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